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Foot : la malédiction du nouveau Zidane

Lorsqu’un jeune footballeur français, milieu offensif réussit de belles performances, l’ombre de Zinedine Zidane plane autour de lui. Sa vista, son élégance, son génie, sa technique ont fait rêver beaucoup de générations. Une comparaison qui, au final, fait plus du mal que de bien aux jeunes espoirs, pas encore prêts psychologiquement.

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, être comparé à Zidane représente souvent une malédiction qui poursuit le joueur pour le reste de sa carrière. Les médias en ont couronné énormément de « nouveaux Zidane ». Des comparaisons qui sont pour la plupart du temps assez superficielles. Les origines, elles aussi sont l’un des éléments jouant un rôle dans la comparaison. .

Meghni, le premier d’une longue série

Le premier, c’est Mourad Meghni. Le meneur de jeu est franco-algérien comme Zidane. Les éloges ont commencé dès le plus jeune âge pour lui (16 ans). À ce moment-là, Meghni ne jouait pourtant que dans les équipes de France jeunes. Un titre octroyé alors que Mourad Meghni n’a même pas su démontrer tout son talent plus tard, au niveau professionnel, dans des championnats majeurs tel que la Ligue 1 ou la Serie A. Il évoluera par la suite dans les championnats algériens et qataris. On disait pourtant de lui qu’il avait dans les pieds « plus de technique pure que Zidane ». Meghni finit par jouer pour l’équipe nationale algérienne à neuf reprises entre 2009 et 2010.

Lorsqu’un jeune footballeur français, milieu offensif réussit de belles performances, l’ombre de Zinedine Zidane plane autour de lui. Sa vista, son élégance, son génie, sa technique ont fait rêver beaucoup de générations. Une comparaison qui, au final, fait plus du mal que de bien aux jeunes espoirs, pas encore prêts psychologiquement.

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, être comparé à Zidane représente souvent une malédiction qui poursuit le joueur pour le reste de sa carrière. Les médias en ont couronné énormément de « nouveaux Zidane ». Des comparaisons qui sont pour la plupart du temps assez superficielles. Les origines, elles aussi sont l’un des éléments jouant un rôle dans la comparaison. .

Meghni, le premier d’une longue série

Le premier, c’est Mourad Meghni. Le meneur de jeu est franco-algérien comme Zidane. Les éloges ont commencé dès le plus jeune âge pour lui (16 ans). À ce moment-là, Meghni ne jouait pourtant que dans les équipes de France jeunes. Un titre octroyé alors que Mourad Meghni n’a même pas su démontrer tout son talent plus tard, au niveau professionnel, dans des championnats majeurs tel que la Ligue 1 ou la Serie A. Il évoluera par la suite dans les championnats algériens et qataris. On disait pourtant de lui qu’il avait dans les pieds « plus de technique pure que Zidane ». Meghni finit par jouer pour l’équipe nationale algérienne à neuf reprises entre 2009 et 2010.

Lorsqu’un jeune footballeur français, milieu offensif réussit de belles performances, l’ombre de Zinedine Zidane plane autour de lui. Sa vista, son élégance, son génie, sa technique ont fait rêver beaucoup de générations. Une comparaison qui, au final, fait plus du mal que de bien aux jeunes espoirs, pas encore prêts psychologiquement.

Aussi paradoxal que cela puisse paraître, être comparé à Zidane représente souvent une malédiction qui poursuit le joueur pour le reste de sa carrière. Les médias en ont couronné énormément de « nouveaux Zidane ». Des comparaisons qui sont pour la plupart du temps assez superficielles. Les origines, elles aussi sont l’un des éléments jouant un rôle dans la comparaison. .

Meghni, le premier d’une longue série

Le premier, c’est Mourad Meghni. Le meneur de jeu est franco-algérien comme Zidane. Les éloges ont commencé dès le plus jeune âge pour lui (16 ans). À ce moment-là, Meghni ne jouait pourtant que dans les équipes de France jeunes. Un titre octroyé alors que Mourad Meghni n’a même pas su démontrer tout son talent plus tard, au niveau professionnel, dans des championnats majeurs tel que la Ligue 1 ou la Serie A. Il évoluera par la suite dans les championnats algériens et qataris. On disait pourtant de lui qu’il avait dans les pieds « plus de technique pure que Zidane ». Meghni finit par jouer pour l’équipe nationale algérienne à neuf reprises entre 2009 et 2010.